La Joaillerie a la particularité de parler le langage des femmes. À sa tête, Valérie Messika a imaginé une nouvelle façon d’aborder le diamant et de démystifier cette pierre si précieuse. Depuis 10 ans elle insuffle à ses collections une liberté et une indépendance de style qui lui ressemble, pour porter au quotidien avec élégance et aisance la reine des gemmes.
Valérie Messika est née parmi les diamants. André, son père, l’un des principaux exportateurs de la bourse du diamant de Tel-Aviv, lui a transmis sa passion des pierres et son inestimable savoir-faire. « Je lui dois le sens du détail et l’amour d’entreprendre », se souvient la créatrice. « J’ai toujours été impressionnée par l’éclat du diamant, cette pierre opaque qui, une fois taillée par la main de l’homme, brille de mille feux ». Mais dès le lancement de sa marque, en 2005, Valérie a pris le parti de se démarquer de la culture traditionnelle et classique du diamant. En désacralisant le diamant, elle a permis aux femmes de s’approprier cette pierre mythique, de se l’offrir pour la porter tous les jours. « J’ai voulu le mettre en scène avec sobriété, posé sur la peau sans ostentation ».
Pour rajeunir l’image du diamant, elle a imaginé des collections contemporaine et pleine de charme. Entre la ligne Move dont les trois diamants glissent sur un rail au gré des mouvements du poignet, la collection Skinny composée de bracelets et de colliers sertis de diamants montés sur des micro-ressorts pour leur assurer un délicat balancement, et les bagues Amazones qui ont séduit Beyoncé, ses succès ne se comptent plus. « J’ai suivi scrupuleusement les deux conseils que mon père m’a prodigués à mes débuts » se rappelle Valérie. « Ne copie personne et ne fais que du diamant pour revendiquer ton expertise familiale et devenir une référence. Les grands joailliers possèdent tous une fabuleuse histoire liée à un patrimoine qu’ils ont fait prospérer de génération en génération. Mon patrimoine s’inscrit dans le diamant, et je développe un style actuel, minimaliste et féminin ».
Valérie a réussi le pari osé et périlleux de se renouveler, et d’imposer son nom en ne travaillant que le diamant. Pour célébrer les 10 ans de sa marque, Valérie Messika inaugure son propre atelier et lance dix époustouflantes parures de haute joaillerie d’une modernité et d’une féminité absolue. La manchette Madison d’une incroyable souplesse s’adapte au poignet et glisse le long du bras comme une seconde peau. Fabriquées dans les nouveaux ateliers parisiens de la marque, les collections sont réalisées selon les règles de la haute joaillerie, dans le souci d’une qualité exceptionnelle. Entourée de son équipe composée de dessinatrices, concepteurs, diamantaires, maquettistes, joailliers, sertisseurs, et polisseurs, Valérie Messika maîtrise toute la chaîne de fabrication de ses collections.
Aujourd’hui, deuxième génération d’une lignée portée par le diamant, elle a imposé son prénom, et ouvert une nouvelle voie aux bijoux pour s’approprier le diamant sur un mode léger, féminin et décomplexé.
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LES CRITÈRES DE SÉLECTION DU DIAMANT
4C
CLARITY, CUT, CARAT, COLOUR
Régis par des normes internationales, ces critères déterminent la qualité et la valeur d’un diamant. Ils correspondent à sa couleur (Color), sa taille (Cut), sa pureté (Clarity) et son poids en carats (Carat).
Les variations de couleur du diamant s’étalent de D à M, d’incolore à légèrement teinté. Au-delà de la lettre M, les diamants “teintés” voire jaunes ne peuvent plus être qualifiés de « blancs ». La pureté, qui varie de IF à P3, se mesure au nombre d’inclusions dans la pierre, sachant que la pureté absolue n’existe pas. Leur nombre, leur localisation, leur taille et leur type influent sur la qualité de la pierre.
Les différentes formes de taille des pierres précieuses, brillant, princesse, émeraude, marquise, poire, cœur..., ont été établies pour donner le plus d’éclat possible à la gemme, et permettre aux rayons de lumière de ressortir par son dessus ou sa table.
Le poids d’un diamant, quant à lui, s’exprime en carat, 1 carat équivalent à 0,20 gramme. Le diamant est si rare qu’il faut brasser une tonne de terre, pour en obtenir un carat.
Les 4 caractéristiques d’un diamant permettent d’établir sa carte d’identité, mais n’informe pas sur son caractère ou l’émotion qu’il suscite, qui restent subjectifs.
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