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John Rubel RENAISSANCE

Une marque endormie, née en 1915, sort de l’oubli, sous l’impulsion de sa descendance.

Aujourd’hui, Sophie ressuscite une magnfique saga familiale, commencée avec ses arrières-grand-oncles, Jean et Robert, puis poursuivie par son grand-père, Marcel, diamantaire reconnu.


Arrivés de Budapest en 1915, les frères Rubel ouvrent rapidement leur premier atelier parisien deux pas de la place Vendôme, où grâce leurs talents, ils créent et réalisent des collections de haute joaillerie pour les plus grands noms. Au fil des créations, leurs liens avec Van Cleef & Arpels se resserrent. A la fin des années 1930, lorsque la Maison de joaillerie s’installe à New York et les invite la rejoindre pour poursuivre la fabrication de ses bijoux, ils n’hésitent pas une seconde. C’est ainsi que démarre l’aventure américaine des frères Rubel, confirmée par l’ouverture de l’atelier Rubel Manhattan.


Séduits par la vie new-yorkaise, Jean et Robert s’inspirent de l’architecture, des personnalités qu’ils rencontrent et créent sans relâche. Au cours d’une soirée latino, Jean dessine sur un coin de nappe la silhouette d’une danseuse de flamenco qui sera adoptée par Van Cleef & Arpels. Elle marquera les débuts d’une longue série de ballerines, qui poursuit encore aujourd’hui ses entrechats dans les collections du joaillier.

 

Forts de leurs succès, les frères Rubel ouvrent leur première boutique à New York en en 1942, au 777 de la Cinquième Avenue. Leurs créations au style unique et avant-gardiste sont reconnues et appréciées dans le monde entier. Aujourd’hui encore elles demeurent très recherchées des collectionneurs et des salles de ventes internationales.

 

UN TRÉSOR CACHÉ

Sophie Rubel, qui a poursuivi la tradition familiale et travaillé au service des plus grands noms de la Haute Joaillerie, découvre en 2012 dans le grenier de la propriété familiale un trésor oublié. Elle met à jour des centaines de pièces d’archives restées intactes, sous forme de croquis et de gouachés réalisés dès 1920 par les frères Rubel.


Touchée par la qualité des réalisations, elle décide de relancer cette marque mythique, endormie depuis les années 50. Propriétaire de la marque, riche de sa filiation, de son héritage, et d’un savoir-faire acquis auprès de sa famille, Sophie réalise aujourd’hui son rêve : faire revivre ce nom emblématique de la Haute Joaillerie. La première collection de John Rubel : « Vies de Bohème » s’inspire de l’esprit audacieux des fondateurs. A travers son interprétation des anciens dessins, Sophie Rubel ressuscite les valeurs artistiques et culturelles héritées du passé, la liberté et l’énergie de Jean et Robert Rubel, tout en en y ajoutant sa touche féminine. Alternant les formes voluptueuses et les lignes plus piquantes, elle laisse libre cours à son imagination, pour faire renaître un passé brillant et offre une collection émouvante et haute en couleurs.

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