Rappelant son lien avec la nature, Reuge présente «Enchanting Birds », sa dernière collection d’oiseaux chanteurs. La pièce présente un surprenant oiseau qui chante en sifflant une mélodie plus vraie que nature. L’animal coloré, constitué de 28 composants, en titane et en or blanc, bat des ailes et fait bouger chaque articulation de son corps avec un chant entraînant. Reuge a reproduit les mouvements naturels de l’oiseau, jusqu’à associer une inclinaison de la tête avec un battement des ailes. L’assemblage de parties sous un seul mouvement mécanique, composé de 250 pièces, est un véritable travail d’orfèvre. Confectionné à la main dans les ateliers de Sainte-Croix, le mouvement et la mélodie s’harmonise avec naturel et fluidité. Disponible en trois couleurs, bleu, fushia ou argent, chaque oiseau est associé à la couleur du soufflet en cuir.
En parallèle, à l’occasion de ses 155 ans, Reuge présente Miliarius, un automate qui fait revivre les combats épiques en recréant la scène du Circus Maximus et ses fameuses courses de chars. Miliarius était le nom de l’aurige qui a remporté plus de mille victoires. Sportif vedette et fin stratège, il était vénéré pour son courage et sa bravoure. Cette popularité a inspiré Reuge, qui a souhaité donner son nom à sa nouvelle pièce d’art mécanique. Quatre colonnes dorées habillent les angles du Miliarius, tandis qu’un drapé plissé en bronze délimite son périmètre. Les colonnes soutiennent un plateau en verre qui permet de voir le mécanisme.
Les attelages de course se tiennent sur le verre et sont mis en mouvement grâce à un ingénieux système magnétique qui donne cette impression de lévitation. Lors de l’activation du levier, cinq chars de courses tirés par dix chevaux sont mis en mouvement et se déplacent en ligne droite. La course commence et les paris sont lancés parmi les spectateurs, transformant un mécanisme incroyablement complexe en objet d’art ludique – le résultat de la course étant aléatoire – afin d’offrir aux spectateurs le frisson du joueur qui ne connaît pas l’issue de la course. Le mouvement interne SH 3.144 a été entièrement assemblé à la main et génère sa mélodie grâce à un clavier de 144 notes animé par un cylindre rotatif, également réglé à la main et dent par dent.